MORT DE LA PSYCHIATRIE
Le Quotidien du Médecin en date du 1 juillet[1] affiche un dossier à sa une, intitulé : « Entre neurologie et psychiatrie ces TNF qui dérangent ».
Il semble qu’il y ait encore des psychiatres qui ignorent ce qu’est un TNF : honte à eux. >> Lire la suite
FABLE : LE COQ ET LE DIABLE
Un coq allait dans la campagne, triste et malheureux. Au détour d’un chemin il rencontra le diable qui lui demanda la raison de son humeur morose.
- Ah ! répondit le coq, personne ne m’aime ! Quand je chante le matin, on me lance des cailloux disant que je fais trop de bruit et que je crie comme une crécelle ! >> Lire la suite
Fable : LES TROIS FRÈRES ET LEUR DESCENDANCE
Il y avait une fois un homme qui avait trois fils : Abraham, l’aîné, Jésus, le cadet, et Mohamed, le benjamin. Cet homme aimait pareillement ses trois fils, mais déplorait qu’ils ne s’entendent jamais : ils étaient tout le temps en train de se disputer. >> Lire la suite
Fable : Les animaux sans abri (Psychopathologie du confinement 6)
Une nuit, rongé par un incertain ver, tout s’écroula. L’étable, l’écurie, la cour, la basse-cour et l’arrière-cour. Il pleuvait, il neigeait, il ventait, plus personne n’était à l’abri. Tout était par terre, tout était à rebâtir.
Les animaux se lamentaient, hennissaient, meuglaient, aboyaient, et je ne sais quoi encore. >> Lire la suite
FRANÇAIS, VOUS ÊTES PUNIS ! (Psychopathologie du confinement 5)
L’interdiction depuis le début du confinement des plages, des forets et de la montagne était déjà aberrante. Ce ne sont vraiment pas des lieux où le risque de se contaminer était le plus élevé. Le confinement absolu est mortel à la longue, non seulement en raison des vraies relations qu’il interdit, mais parce que la sédentarité, le manque d’activité physique sont très mauvais et facilitent allègrement le surpoids et l’obésité : bien des gens déplorent n’avoir d’autres occupations que faire la cuisine et manger. >> Lire la suite
LE MUR. (Psychopathologie du confinement 4)
Lorsqu’on court un marathon, notre organisme passe d’un système aérobie à anaérobie où l’on se met à produire beaucoup d’acide lactique et au cours duquel la course devient difficile moralement et physiquement. Pour le marathonien moyen, le franchissement du seuil anaérobie se situe aux trois quarts de la course, vers le trentième kilomètre. >> Lire la suite