LE MUR. (Psychopathologie du confinement 4)
Lorsqu’on court un marathon, notre organisme passe d’un système aérobie à anaérobie où l’on se met à produire beaucoup d’acide lactique et au cours duquel la course devient difficile moralement et physiquement. Pour le marathonien moyen, le franchissement du seuil anaérobie se situe aux trois quarts de la course, vers le trentième kilomètre. >> Lire la suite