« APRÈS L’INCESTE, LE CHEMINEMENT DE LA PAROLE » (« Mais je dois d’abord vous dire que ça m’a gâché ma vie. »)
( extrait d’une conférence faite lors d’un symposium sur l’inceste à Neuchâtel (Suisse) en février 2022 à partir de la parole de patients et d’analysants)
LE SILENCE
L’état commun des victimes d’inceste ?
On se tait moins par absence de souvenir (la question des faux souvenirs, soulevée par Élisabeth Loftus (le monde du 29/1/22)) que parce qu’il n’y a rien à dire, rien à évoquer, rien à penser et tout à oublier, de sorte qu’en réalité rien n’est advenu. >> Lire la suite